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Update du 17/01/18.

  • cl1707
  • 17 janv. 2018
  • 2 min de lecture

↑ Empreintes de main et d'antérieur de loup.



Pour des raisons d'organisation et de matériel, les patrouilles ne pouvant être réalisées et les stimuli vérifiés régulièrement, on abandonne le sujet sur les stimuli répulsifs. En lieu et place, on se concentrera essentiellement sur le tracking des prédateurs et l'analyse des données de tracking. On travaillera sur la question de la relation entre les trajectoires des prédateurs et les lignes directes topographiquement présentes sur le terrain.


Titre. "The use of direct lines by wolves, lynx and wolverines in North Karelia."


Zone d'étude et espèces d'intérêt.

400 km².

On suit exclusivement les traces des grands prédateurs locaux, à savoir (en cette saison) : loup (Canis lupus), lynx (Lynx lynx), glouton (Gulo gulo).


Protocole. Tant que persiste la couverture neigeuse, on parcourt quotidiennement la zone d'étude en voiture jusqu'à trouver des traces suffisamment fraîches pour être suivies.

  1. Identification des traces (animal, nombre, fraîcheur...).

  2. Suivi des traces dans les deux sens : un traqueur suit la piste tandis que l'autre la remonte. La trajectoire ainsi effectuée est enregistrée à l'aide d'un GPS.

  • Durant la traque, on s'appliquera à noter les coordonnées de différents facteurs d'intérêt : habitats traversés, nombre d'animaux, présence de lignes directes, de crottes, de carcasses, etc.

  1. On arrête la traque lorsque les conditions ne permettent plus de suivre les traces (luminosité, terrain, effacement...) : dans la mesure du possible, on poursuit une traque sur plusieurs jours pour récolter le plus de données possible.

  2. Extraction des données GPS et traitement sur MapSource, voire autres logiciens SIG. On cherche alors à caractériser les déplacements des prédateurs relativement aux lignes directes déjà présentes sur la carte.


↑ Exemple de tracés obtenus sous MapSource (rouge: glouton; bleu: loup; vert: lynx).


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